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  Rêveries sur l'Ile verte   |    Historique des oeuvres
   
  Musiciens : Violon 1 - Manuel Voirol, Kim Sooyoun, Arshavie Musaelyan | Violon 2 - Alejandra cova, Adrien ModaffRI, Jon Costin Duta | Alto - Rocio Gomez, Janka Mekis | Violoncelle - Janaina de Aquino Salles Voirol, Gladays Ançay | Contrebasse - Saniel Szomor
Solistes : Guitare - George Vassilev | Bandonéon - Stéphane Chapuis | Flûte - Rosalia Agadjanian | Piano - Lionel Monnet | Alto - Rocio Gomez
   
 

Concerto pour guitare, bandonéon et cordes op.15 (19'57)
Ce Concerto fut conçu durant le mois d'août 05. Il n'y a aucune allusion à la Chine. Il représente plutôt la nostalgie du Vieux Monde alors que j'étais un peu perdu au bord de la Mer Jaune.
Les trois mouvements constituent le chemin vers la sérénité, du premier très rapide et tendu vers la légèreté et la mélancolie au parfum de Renaissance du dernier mouvement, en passant par le Largo central très intérieur.
Guitare et bandonéon dialoguent sur un tapis de cordes.

 
   
 

Rêverie sur l'Ile verte pour flûte, piano et cordes op.16 "à Michel Andrey" (le promeneur) (9'42)
Il faut imaginer un promeneur solitaire qui marche au bord de l'océan à Qingdao (Ile verte en Chinois) dans le Shandong, province de l'Empire du Milieu (Zhong Guo = Chine).
La mer est le fil conducteur de ses rêveries, au rythme des vagues tantôt violentes, déferlantes ou apaisées et sereines.
Cette Rêverie doit s'écouter comme une musique à programme décrivant les fluctuations de la mer et celles de l'âme du promeneur.

 
   
 

Pavane pour orchestre à cordes op.17 (8'36)
Il s'agit de la dernière œuvre écrite à Qingdao durant ma retraite chinoise.
Par sa forme de Pavane, elle fait écho au Concerto pour guitare, ainsi la boucle est bouclée.
Le voyage initiatique est terminé.

 
   
 

Quatuor op.14 No. 4 Petit prélude d'été pour alto seul op.19 (2'56)

 
   
  Elégie pour flûte, piano et cordes op.12 (6'10)
L 'élégie est un poème de rythme et de forme variables mixtes caractérisé par son ton plaintif particulièrement adapté à l'expression d'une souffrance amoureuse due à un abandon ou à une absence.
Cette élégie est la première pièce écrite sur le sol chinois d'un seul trait le 24 juillet 2005.
Elle adopte le système musical pentatonique chinois, emmené par le son léger de la flûte (Xiao). "La flûte a la sonorité de l'équinoxe du printemps, toute chose s'anime, s'excite et se met à bouger.."